Gérer le stress c'est empêcher une rupture de contact. C’est garder une connexion entre nos émotions et nos capacités cognitives.
Nous sommes alors en mesure de prendre des décisions efficaces, car nous pouvons ressentir des émotions même fortes et garder notre contrôle.
C'est ce qui nous permet par exemple d'être en colère mais en même temps de ne pas agresser notre interlocuteur.
Avez-vous remarqué que le concept de traumatisme dans une version positive n'existe pas ?
Un événement positif même très important ne semble pas avoir le même impact durable qu'un événement négatif. De même que dans un tout autre registre, une critique aurait plus d'impact généralement, qu'un compliment.
Est-ce à dire par extension, que la peur, la colère et la douleur sont plus puissantes que le rire, la joie et le plaisir ?
Pour les neurosciences la réponse est oui, notre cerveau est en mesure de repérer et mémoriser plus facilement et plus rapidement les informations négatives.
Les émotions négatives sont gérées de façon prioritaire par notre amygdale, qui joue un rôle central au niveau de notre stress. C'est une structure en forme d'amende dans le cerveau, une sorte de radar interne qui scanne les risques et qui prend les commandes face à tout danger pour nous préparer à réagir. C'est le siège des réactions du stress.
Une critique, même mal formulée n'est pas une menace de mort, et si une conversation même cruciale se passe mal cela ne met tout de même pas en danger notre vie.
Pourtant nos réactions parfois sont exagérées et ressemble fort à des réponses à des dangers beaucoup plus graves.
Savoir pourquoi est assez déconcertant. Notre cerveau émotionnel ne fait pas de distinction entre menace au danger réel et menace ou danger imaginaire. Il ne voit pas la distinction entre menaces physiques et non physique. Les émotions telles que la peur, la colère la frustration peuvent donc activer des réponses de stress avec des réactions disproportionnées.
Gérer le stress : une solution ?
Il s'agit d'apprendre à reconnaître ses propres
réactions physiques face au stress et utiliser des techniques de relaxation musculaire et de respiration consciente pour faire baisser les hormones du stress.
La sophrologie répond parfaitement à ses attentes.
Pour garder son contrôle face à une emprise émotionnelle l'approche la plus immédiate et la plus simple est de repérer rapidement les premiers signes physiques. Utiliser la respiration consciente et volontaire pour baisser le niveau d'activation du stress, anticiper les situations stressantes et comprendre comment les affronter.
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A très vite!
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