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Supportez-vous plus vos enfants ou ceux des autres ? Une enquête (très) sérieuse

Ah, les enfants ! Ces petites créatures pleines d’énergie qui transforment nos vies en montagnes russes d’émotions. Mais soyons honnêtes, on s'est tous déjà demandé : pourquoi est-ce que les enfants des autres paraissent toujours tellement plus... supportables ?



Les enfants des autres : de petits anges... ou presque

Quand vous croisez les enfants des autres, c’est un peu comme regarder un film familial feel-good. Ils sont polis, disent « merci », « s’il vous plaît », et semblent dotés d’une capacité incroyable à rester silencieux juste au bon moment. Bien sûr, de temps en temps, un de ces petits anges décide de tester les limites, peut-être en hurlant à pleins poumons au milieu du supermarché parce qu'il veut absolument ce paquet de bonbons fluo. Et là, avouons-le, il y a cette petite voix intérieure qui murmure : « Si c’était mon enfant, je... ». Mais bon, vous respirez un grand coup, vous souriez, et laissez les parents gérer la crise. Après tout, vous, vous n’avez pas à ramasser les morceaux !


Vos propres enfants : des experts du chaos

Et puis il y a vos propres chérubins. Ceux qui transforment votre quotidien en une suite d’événements improbables. Vous les adorez, bien sûr, mais ils ont ce talent pour vous amener aux portes de la folie douce. Entre les caprices pour des raisons mystérieuses (« je ne veux pas que le soleil se couche ! ») et les disputes qui surgissent de nulle part, c’est un spectacle permanent. Vous avez même parfois des pensées non-avouables : un petit instant de silence, ça serait trop demander ? Mais non, vous tenez bon, parce que l’amour parental, c’est aussi ça : survivre à des situations qui auraient fait fuir n’importe qui d’autre.


Les mystères de la tolérance

Alors, pourquoi semble-t-il plus facile de supporter les enfants des autres ? Quelques explications s'imposent :

  • L’amour inconditionnel : Cet amour qui vous fait voir du génie dans chaque dessin de bonhomme bâton, mais qui chez les autres pourrait vous laisser dubitatif. Ce lien magique vous empêche de les revendre sur eBay, même après la quinzième crise de la journée.

  • La responsabilité : Avec vos propres enfants, vous avez signé pour tout gérer, tout le temps. Mais avec ceux des autres, vous pouvez garder une certaine distance, et si besoin, planifier une sortie de secours discrète !

  • La fréquence des interactions : Vous vivez avec vos enfants, ce qui vous expose à tout, absolument tout. Les enfants des autres, vous les voyez juste assez longtemps pour qu’ils ne vous aient pas encore poussé à envisager des solutions extrêmes, comme un billet aller-simple pour une île déserte.


Conclusion : super-héros du quotidien

Alors oui, les enfants des autres peuvent paraître plus faciles à vivre. Mais ne vous y trompez pas : les autres parents pensent probablement la même chose des vôtres. Finalement, nous sommes tous dans le même bateau, essayant de naviguer dans ce joyeux désordre qu’est la parentalité. Et si parfois vous avez des pensées pas très catholiques en voyant un enfant se rouler par terre en hurlant, rassurez-vous : c’est humain. L’important, c’est de respirer, de sourire… et de savoir qu’on est tous des héros, à notre manière.

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