Extrait : Si le sommeil était un sport olympique, nous serions tous des athlètes de haut niveau… ou plutôt nous devrions l’être. Parce que oui : un tiers de notre vie est censé être consacré à dormir.

Le stress… Ce colocataire envahissant qui ne paye jamais le loyer, mais qui s’invite partout : au travail, au dîner, au lit — même sous la douche, il trouve le moyen de vous parler de demain. Et là, soudain, vous entendez :« Respirez… »Ah oui, parce qu’on avait arrêté de le faire ? La vérité, c’est qu’on respire en permanence… sans y être vraiment.La respiration ? Elle devient un automatisme. Et ce qui est automatique, on l’oublie — jusqu’au moment où ça déraille.

Extrait:"Car soyons honnêtes : si la sophrologie dérange encore, ce n’est pas seulement parce qu’elle est populaire.C’est aussi parce qu’elle bouscule certains repères établis."

On pense souvent que le bruit, c’est l’affaire des chantiers, des marteaux-piqueurs et des sirènes d’usine. Pourtant, les nuisances sonores ont envahi aussi les bureaux : open spaces, notifications, discussions croisées, claviers, appels… Un fond sonore constant qui épuise le cerveau sans qu’on s’en rende compte.

Lorsque quelqu’un de votre entourage est atteint d’un cancer, qu’il s’agisse d’un membre de la famille, d’un ami ou d’un collègue, il est naturel de se poser beaucoup de questions sur la meilleure manière de se comporter. Doit-on parler de la maladie ? Poser des questions ou pas ? Comment offrir son soutien sans être intrusif ?

Avant de savoir en parler, un enfant doit d’abord identifier ce qu’il ressent. La colère n’est pas toujours facile à distinguer de la frustration ou de la fatigue. La peur peut se cacher derrière une crise ou un refus d’agir.En sophrologie, des exercices de respiration et de prise de conscience du corps aident l’enfant à repérer les signaux internes : le cœur qui s’accélère, le ventre qui se noue, les mains qui se crispent. Ces repères deviennent des indices pour mettre des m

Les signaux d’alerte : refus d’aller à l’école, silence inhabituel, irritabilité, tristesse, affaires abîmées…➡️ La première étape est l’écoute, sans jugement ni minimisation. Puis il faut alerter l’établissement, recueillir des preuves, et en cas de cyberharcèlement, signaler ou porter plainte.

C’est devenu un sport national : on se plaint toute l’année de ne pas avoir de vacances, on compte les jours avant le départ… et au retour, qu’est-ce qu’on dit ? « Je suis crevé. »Bienvenue en France, pays où le repos fatigue.

Toi aussi, t’y as pensé ? Toi aussi, t’as peut-être sorti la règle, en douce, un soir de doute, pour mesurer ta virilité ? Bienvenue dans le club. T’es pas seul. Et franchement, t’es pas très original. Parce qu’il faut le dire : Une partie des hommes est obsédée par la taille de leur sexe.Et pour beaucoup, c’est pas une question de santé.C’est une question d’ego.

Parce que le sexisme, ce n’est pas seulement le plafond de verre ou les écarts de salaire. C’est aussi (surtout ?) toutes ces petites phrases, ces regards, ces gestes, ces interruptions systématiques qui, mis bout à bout, finissent par créer un environnement aussi usant qu’invisible.

Quand un père apprend que son fils est homosexuel, ça secoue. Pas parce que c’est un drame, mais parce que ça vient percuter tout un héritage de croyances, de virilité fantasmée, de schémas transmis sans questionnement.

Un commentaire du type « t’as pas une tête de pédé, toi ? » ou « on va pas refaire les toilettes pour les trans, non plus ! » n’est pas une blague : c’est une infraction.

Mon ado se pose des questions sur son orientation sexuelle. Est-ce normal ? J’ai peur qu’elle soit lesbienne. Pourquoi ai-je peur ? Va-t-elle changer ? Doit-elle changer ? Est-ce que la sophrologie peut l’aider ?"

On parle de plus en plus de genre, de transidentité, de non-binarité... Et souvent, cela suscite des interrogations, parfois de l’incompréhension, voire des tensions. En tant que sophrologue, je rencontre des personnes en quête d’alignement avec elles-mêmes, pour qui la question du genre est centrale.Mais qu’est-ce que le genre ? Et en quoi la sophrologie peut-elle accompagner cette exploration ?

Ah, la semaine de la QVCT… Ce moment où certaines boîtes se disent :“Tiens, si on mettait deux ateliers de yoga, trois jus détox et une affiche bienveillante dans la salle de pause ?”Et hop, tout le monde est censé se sentir mieux.

Ah, le joli mois de mai… Ses week-ends prolongés, ses ponts (quand on a la chance d’y passer dessus et pas dessous), ses jardins qui...

« Quand vous voyez un homme sage, pensez à l’égaler en vertu. Quand vous voyez un homme dépourvu de sagesse, examinez-vous vous-même. »Ah, Confucius. Toujours un mot pour nous mettre face à nous-mêmes. Ce vieux sage a beau avoir vécu il y a plus de 2 500 ans, il continue de pointer du doigt notre petite manie moderne : croire qu’on est un peu plus intelligent que la moyenne.

De l’autre, une certaine jeunesse éructe sur ses réseaux ultra-rapides, vomissant ceux-là mêmes qui leur ont pourtant légué Internet, les ordinateurs, les satellites, la médecine moderne, la lutte contre les longues maladies, la liberté sexuelle.Sans oublier la pilule contraceptive, le droit à l’avortement, le droit de choisir son corps : conquêtes portées par ces "vieux croulants" qu'ils dédaignent parfois avec une arrogance confondante.

Le remords est une émotion complexe, mêlant regret, douleur morale et désir de réparation. Lorsqu’une personne éprouve du remords, cela signifie qu’elle reconnaît une faute ou un comportement qu’elle juge, a posteriori, injuste ou inapproprié. C’est une blessure intérieure, une sorte de voix intérieure qui murmure que quelque chose aurait pu — ou dû — être fait autrement. Contrairement à la simple culpabilité, souvent paralysante, le remords peut devenir un moteur d’évolutio

Il nous arrive à tous, à un moment ou un autre, de ressentir une forme d’inquiétude ou d’angoisse en pensant à l’avenir. Ce sentiment est non seulement courant, mais aussi profondément humain.